Premières images : la cohorte de douaniers joyeux mais consciencieux venus fouiller la bateau, le marché de rue à Maumere, les moto-taxis, les immenses plages de sable blanc, les navigations sous un soleil brûlant, les coraux et étranges créatures colorées admirées sous l'eau, le bruyant et fumant cratère du volcan Egon (appareil photo perdu), les pirogues nombreuses qui accostent Io dès que l'ancre se pose, la mer couverte de lumières la nuit (pêcheurs au "lamparo"), les villages où nous sommes si gentiment reçus.
Les Indonésiens nomment les Blancs "bulai" (prononcez "boulet"), nous les faisons beaucoup rire en parlant un peu leur langue, l'anglais est peu pratiqué par ici, à part "Hello Mister!". Lors de nos promenades, ils nous invitent souvent pour un café, un lait de coco, parfois une langouste ou des beignets. Comme en Papouasie, nous échangeons fruits et légumes de leurs jardins contre riz, sucre, habits, cigarettes...
Dans la belle baie de Lingeh, vers midi les enfants rentrent de l'école par la longue plage et en profitent pour nager nus jusqu'au bateau, leurs uniformes bien pliés laissés sur le sable : nous partageons nos repas avec de joyeux compagnons. Un après-midi, ils nous amènent à travers les rizières jusqu'à leur école où le professeur d'anglais nous reçoit chez lui, dans le brouhaha de 200 ou 300 enfants massés dans et autour de sa maison. Le dernier soir Riki, Caroline et leur père viennent en pirogue nous offrir .. un poulet vivant!
Trois semaines sans voir un autre voilier, la plupart passent ici en groupe lors des rallies australiens, un peu plus tôt en saison et rapidement.
Nous sommes arrivés hier dans la partie touristique de l'île, un autre visage de l'Indonésie.
Les Indonésiens nomment les Blancs "bulai" (prononcez "boulet"), nous les faisons beaucoup rire en parlant un peu leur langue, l'anglais est peu pratiqué par ici, à part "Hello Mister!". Lors de nos promenades, ils nous invitent souvent pour un café, un lait de coco, parfois une langouste ou des beignets. Comme en Papouasie, nous échangeons fruits et légumes de leurs jardins contre riz, sucre, habits, cigarettes...
Dans la belle baie de Lingeh, vers midi les enfants rentrent de l'école par la longue plage et en profitent pour nager nus jusqu'au bateau, leurs uniformes bien pliés laissés sur le sable : nous partageons nos repas avec de joyeux compagnons. Un après-midi, ils nous amènent à travers les rizières jusqu'à leur école où le professeur d'anglais nous reçoit chez lui, dans le brouhaha de 200 ou 300 enfants massés dans et autour de sa maison. Le dernier soir Riki, Caroline et leur père viennent en pirogue nous offrir .. un poulet vivant!
Trois semaines sans voir un autre voilier, la plupart passent ici en groupe lors des rallies australiens, un peu plus tôt en saison et rapidement.
Nous sommes arrivés hier dans la partie touristique de l'île, un autre visage de l'Indonésie.
1 commentaire:
Coucou testerins. Que ces enfants sont beaux et joyeux ! Merci encore une fois pour les photos, vos découvertes, vos ressentis. Nous pensons bien à vous et il nous tarde de vous revoir. Philippe est mieux. Le moral est là. Du travail encore. Mais atmosphère plus légère et confiante. Nous vous embrassons.
Mimi et Philippe.
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