C'est une traversée différente des autres, pour la première fois notre route n'est pas directe, nous restons au sud pour éviter les dépressions et assurer un vent portant.
Premiers jours "normaux", avec alternance de pétole et de vent musclé. Puis alerte de Florence, les vents forts risquent de nous atteindre, il faut aller vite pour parer les pires. Seule solution : mettre toute la toile et prendre la barre. Io bat son record des 24 heures : 170 milles, soit une moyenne de 7,1 nœuds (13km/h!). En plus, la pluie nous arrose pendant 2 jours, nous n'avons pas l'habitude. Par contre, la température reste très agréable, nous évitons les chaussettes et les bottes. Les derniers jours, nous pouvons enfin mettre le cap plus au nord et atteindre les Açores. Bien que nous ayons rallongé la route, Faial apparaît dans le brouillard le 15ème jour, nous n’espérions pas aller si vite.
Nous nous amarrons tant bien que mal dans le port bondé et battu par un vent violent. Mais une heure après : qu'il est bon le steak des Açores accompagné du vin local.
Grand merci à Florence pour son aide. Nos "collègues" ont rencontré des vents tempétueux et en ont souffert.
Photos : album et diaporama
Premiers jours "normaux", avec alternance de pétole et de vent musclé. Puis alerte de Florence, les vents forts risquent de nous atteindre, il faut aller vite pour parer les pires. Seule solution : mettre toute la toile et prendre la barre. Io bat son record des 24 heures : 170 milles, soit une moyenne de 7,1 nœuds (13km/h!). En plus, la pluie nous arrose pendant 2 jours, nous n'avons pas l'habitude. Par contre, la température reste très agréable, nous évitons les chaussettes et les bottes. Les derniers jours, nous pouvons enfin mettre le cap plus au nord et atteindre les Açores. Bien que nous ayons rallongé la route, Faial apparaît dans le brouillard le 15ème jour, nous n’espérions pas aller si vite.
Nous nous amarrons tant bien que mal dans le port bondé et battu par un vent violent. Mais une heure après : qu'il est bon le steak des Açores accompagné du vin local.
Grand merci à Florence pour son aide. Nos "collègues" ont rencontré des vents tempétueux et en ont souffert.
Photos : album et diaporama
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