Sur cette route nous pensions être sur un "tapis roulant" entrainés par un bon courant. Effectivement, au début, il est là, mais faible. Deux jours après le départ, l'alizé vire vers le Nord-Est, ce qui est normal, le roulis se transforme en gîte sur babord, c'est à dire que Io remue moins mais nous vivons penchés.
Tradition oblige, nous fêtons le passage de l'équateur (à l'aube) avec un (petit) verre de rhum réunionnais. Une nuit noire, le ciel nous tombe sur la tête, trombes d'eau, vent fort de toutes directions. Nous résistons quelques heures, puis nous mettons à la cape en attendant que le déluge cesse. Au matin, ouf, ça se calme, nous reprenons la route et faisons sécher le linge.
La veille de l'arrivée en Guyane, le courant que nous avons tant attendu prend enfin toute sa puissance, trop fort et trop tard, nous devons ralentir pendant la nuit, baisser les voiles, car il faut attendre l'heure de la marée pour entrer dans le fleuve.
Le 10ème jour, nous jetons l'ancre dans la rivière Mahury devant la petite marina de Cayenne. Repos !
Les photos : album et diaporama
Tradition oblige, nous fêtons le passage de l'équateur (à l'aube) avec un (petit) verre de rhum réunionnais. Une nuit noire, le ciel nous tombe sur la tête, trombes d'eau, vent fort de toutes directions. Nous résistons quelques heures, puis nous mettons à la cape en attendant que le déluge cesse. Au matin, ouf, ça se calme, nous reprenons la route et faisons sécher le linge.
La veille de l'arrivée en Guyane, le courant que nous avons tant attendu prend enfin toute sa puissance, trop fort et trop tard, nous devons ralentir pendant la nuit, baisser les voiles, car il faut attendre l'heure de la marée pour entrer dans le fleuve.
Le 10ème jour, nous jetons l'ancre dans la rivière Mahury devant la petite marina de Cayenne. Repos !
Les photos : album et diaporama
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