Formalités d'entrée faciles et rapides. Population joyeuse qui aime la musique et qui ne veut pas oublier sa lutte victorieuse contre l'occupant indonésien. Très peu de touristes.
Rares sont les personnes dans la rue qui nous croisent sans un sourire et sans nous dire bonjour. Les conversations sont amusantes : selon les interlocuteurs, espagnol (pour nous), tétum (pour eux), quelques mots de portugais ou d'indonésien, un peu d'anglais, des gestes et des sourires.
Le mouillage dans le port est sous la garde de la Policia Maritimo, nous laissons facilement Io pour visiter le pays.
Autour de Dili la capitale, le paysage est montagneux et aride en cette saison. Les routes sont défoncées et poussiéreuses, mais nous passons des heures sympathiques entassés dans de vieux bus, musique et moteur à fond. Certains voyagent sur le toit ou accrochés aux portières. Nous admirons les rizières des "hauts" plateaux.
Dans les villages, les jeunes adolescents, particulièrement aimables, apprécient de partager un bout de chemin avec nous, selon leur trajet entre l'école et leur maison. En ville, ce sont les mikrolets (minibus) qui nous véhiculent et bien souvent nous faisons rire les autres passagers en nous cognant la tête contre le plafond vraiment très bas. Un des quartiers que nous connaissons le mieux est celui de l'ambassade d'Indonésie où la quête des visas est une aventure. Les plaisanciers ici sont rares. Par chance, notre escale correspond à celle de l'équipage italien de Baimaiself avec qui nous partageons de très bons moments.
Demain nous déménageons en Indonésie, ce n'est pas loin.
Rares sont les personnes dans la rue qui nous croisent sans un sourire et sans nous dire bonjour. Les conversations sont amusantes : selon les interlocuteurs, espagnol (pour nous), tétum (pour eux), quelques mots de portugais ou d'indonésien, un peu d'anglais, des gestes et des sourires.
Le mouillage dans le port est sous la garde de la Policia Maritimo, nous laissons facilement Io pour visiter le pays.
Autour de Dili la capitale, le paysage est montagneux et aride en cette saison. Les routes sont défoncées et poussiéreuses, mais nous passons des heures sympathiques entassés dans de vieux bus, musique et moteur à fond. Certains voyagent sur le toit ou accrochés aux portières. Nous admirons les rizières des "hauts" plateaux.
Dans les villages, les jeunes adolescents, particulièrement aimables, apprécient de partager un bout de chemin avec nous, selon leur trajet entre l'école et leur maison. En ville, ce sont les mikrolets (minibus) qui nous véhiculent et bien souvent nous faisons rire les autres passagers en nous cognant la tête contre le plafond vraiment très bas. Un des quartiers que nous connaissons le mieux est celui de l'ambassade d'Indonésie où la quête des visas est une aventure. Les plaisanciers ici sont rares. Par chance, notre escale correspond à celle de l'équipage italien de Baimaiself avec qui nous partageons de très bons moments.
Demain nous déménageons en Indonésie, ce n'est pas loin.
Les photos : diaporama
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire