Io nous mène à l'île Ouen et à son magnifique corail , à l'îlot Casy où Mousse le chien, seul occupant, assure toujours la compagnie pour la visite.
Ensuite, le vent gentiment orienté nord-est nous pousse à l'île des Pins envahie temporairement par les 2000 passagers d'un paquebot. Nous en profitons pour déguster les plats locaux proposés aux blancs et rouges anglo-saxons peu tentés quant à eux par ces légumes inconnus cuits dans une feuille de bananier! Les iliennes sont contentes de trouver des amateurs de leur cuisine.
Nous nous plions parfois aux rites du tourisme, mais discutons aussi largement avec les habitants accueillants et pratiquons souvent "le pouce" (auto-stop). A Ouvéa nous retrouvons avec bonheur et nostalgie un peu de la douceur polynésienne due peut-être à l'origine wallisienne d'une partie de la population. Au bout de l'île, à Saint-Joseph, la veuve du grand chef nous accorde l'autorisation d'aller mouiller dans le petit atoll de Beautemps-Beaupré, un de nos rêves qui ravit tout l'équipage.
Nous retrouvons aussi et apprécions plus ou moins les navigations de nuit dans la houle, sous les grains, la lune ou les étoiles.
C'est en musique, au son de "colons usurpateurs, depuis 150 ans vous êtes là, quand partez-vous ?" que la fête de Djiido la radio kanak indépendantiste nous accueille à la fin de notre navigation calédonienne.
Amarrés sur le fleuve, l'escale est tranquille et sympathique dans la bourgade de Hienghène en fête. Nos trois neveux, efficaces coéquipiers et partenaires de tarot nous quittent. Nous nous préparons au départ vers le Vanuatu.
Ensuite, le vent gentiment orienté nord-est nous pousse à l'île des Pins envahie temporairement par les 2000 passagers d'un paquebot. Nous en profitons pour déguster les plats locaux proposés aux blancs et rouges anglo-saxons peu tentés quant à eux par ces légumes inconnus cuits dans une feuille de bananier! Les iliennes sont contentes de trouver des amateurs de leur cuisine.
Nous nous plions parfois aux rites du tourisme, mais discutons aussi largement avec les habitants accueillants et pratiquons souvent "le pouce" (auto-stop). A Ouvéa nous retrouvons avec bonheur et nostalgie un peu de la douceur polynésienne due peut-être à l'origine wallisienne d'une partie de la population. Au bout de l'île, à Saint-Joseph, la veuve du grand chef nous accorde l'autorisation d'aller mouiller dans le petit atoll de Beautemps-Beaupré, un de nos rêves qui ravit tout l'équipage.
Nous retrouvons aussi et apprécions plus ou moins les navigations de nuit dans la houle, sous les grains, la lune ou les étoiles.
C'est en musique, au son de "colons usurpateurs, depuis 150 ans vous êtes là, quand partez-vous ?" que la fête de Djiido la radio kanak indépendantiste nous accueille à la fin de notre navigation calédonienne.
Amarrés sur le fleuve, l'escale est tranquille et sympathique dans la bourgade de Hienghène en fête. Nos trois neveux, efficaces coéquipiers et partenaires de tarot nous quittent. Nous nous préparons au départ vers le Vanuatu.
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